Immerger le spectateur au cœur de « son opéra, dont l’architecture a remplacé la musique ».
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row el_position=”last”][vc_column width=”1/1″][vc_gallery type=”image_grid” interval=”3″ onclick=”link_no” img_size=”large” images=”1987″ custom_links_target=”_self” el_position=”first last”][vc_column_text el_position=”first last”]L’œuvre est une scénographie, installation visuelle et sonore, il la définit comme une œuvre globale. Christian Boltanski explique « qu’à partir d’un certain âge, on a l’impression de traverser un champ de mines, où l’on voit les autres mourir autour de soi alors que, sans raison, on reste, jusqu’au moment où on sautera à son tour ». Boltansky poursuit sa réflexion sur les limites de l’humanité et travaille ici sur le destin et la fin inéluctable, la mort.
EXTRAIT DEDICATE 22 – Hiver 2010
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