Comptoir Sud Pacifique, c’est le genre de maison qui transforme une simple bouffée d’air en voyage express. Pas besoin de boarding pass, ni de vous infliger une escale, juste un parfum vous fera décoller. Né entre Paris et les îles, le label sent la liberté, le soleil et une touche d’insouciance calibrée à la perfection.
L’univers ? Un été permanent, pas version carte postale vue et revue, mais plutôt ce moment où la peau garde encore un peu de sel, où tout est simple, où tout est à la cool. Les flacons ? Métalliques et minimalistes. Les parfums ? Des shots d’ondes positives : vanille, lime douce, coco chill, vent marin qui fait du bien. Chaque création a ce truc instantané qui te fait voyager à travers un ingrédient sans lever le petit doigt.
Et au centre de cet univers, une star : Vanille Extrême. Un nom qui pourrait sonner too much, mais qui, chez eux, tape juste. Pas la vanille cupcake, ni l’énorme dose de sucre déguisée en parfum. Plutôt une caresse chaude, un câlin de peau, un sillage addictif qui a ce truc rassurant et sexy à la fois. Ça fond, ça enveloppe, ça reste.
La déclinaison en huile pour le corps garde le même ADN. Texture satinée, fini doux, zéro effet gras. Juste une peau nourrie, qui sent bon le soleil et les beaux souvenirs. C’est le genre de produit qu’on adopte sans réfléchir et qu’on garde toute l’année, même quand il pleut.
L’approche Comptoir Sud Pacifique a quelque chose de différent : pas de storytelling en douze chapitres, mais des émotions qui nous parlent, des sourires qui se dessinent au moindre Pschitt. Voilà ce qui change du sérieux permanent du secteur. Ici, on se parfume, on respire, on kiffe, on vit.
Derrière Comptoir Sud Pacifique qui ne crie pas son nom mais qu’on retient tout de suite, l’Italienne Valérie Pianelli. Elle orchestre cette maison indépendante, préférant depuis toujours l’authenticité à la prétention.
Comptoir Sud Pacifique sont ces parfums qu’on choisit et qu’on n’a plus envie de quitter. Une signature, un mood, une parenthèse d’évasion… Pas besoin d’aller loin quand parfois, il suffit de se parfumer ou de sentir.
Rédaction : Rania Harrath
